Ce Qu'on A Aimé...
Six classes disponibles dès le début
Prise de niveaux facile
... et ce qu'on a pas aimé
Classes avec genre prédéfini
Manque d'originalité
Visionnez la bande annonce:
Sorti en 2013 en Corée du Sud et en 2014 en Chine, Echo of Soul aura su se faire attendre en France. Après une courte période de bêta fermée, le titre, développé par Nvius, est sorti le 28 mai 2015 dans nos contrées.
Echo of Soul se veut fédérateur et offre aux joueurs la possibilité d'exprimer leur propre style de jeu, que cela soit dans des donjons en solo, sur le terrain d'affrontement de guildes ou sur les cartes PvP propres au jeu. Adieu aux longues séances de grind. La finalité du jeu se retrouve avant tout dans les combats PvE et PvP de haut niveau. En plus des six classes de base qui se verront proposer un choix d'évolution au niveau 10, Echo of Soul propose également des activités annexes. Le joueur pourra apprendre un des trois métiers disponibles et s'adonner à deux loisirs : la cuisine et l'expertise des âmes.
Nvius a privilégié le risque minimum aux dépens de l'audace, et ce choix conscient empêche Echo of Soul de sortir réellement son épingle du jeu d'un marché déjà bien saturé. Il pourra constituer un divertissement agréable, mais peut-être pas un investissement à long terme.
Ce Qu'on A Aimé...
Combat automatique
Excellents graphismes
Gameplay dynamique
... et ce qu'on a pas aimé
Trop d'assistanat
Trop peu d'innovations
Modèle premium envahissant
Développé par le studio chinois 37Games, qui a déjà fait ses armes sur Dawn of Kings, Felspire est désormais disponible dans nos contrées depuis le 18 septembre 2015, en bêta fermée. A-RPG nerveux mais accessible, proposant un monde de fantasy, Felspire entend se faire une place dans le monde des jeux sur navigateur.
Le jeu propose trois classes, chacune étant affectée à un genre prédéfini. Le choix est donc doublement limité. D’autant que le jeu, au départ, offre peu de variété dans la customisation des personnages. Fort heureusement, à partir d’un certain niveau, des options plus larges de customisation seront disponibles. Cela sera aussi le cas pour les classes, qui pourront bifurquer vers une spécialisation.
Felspire propose de nombreux modes de jeu, du PvE au PvP en passant par l’exploration de donjons, en solo ou en groupe. Vous pourrez même rejoindre une guilde. Les débuts sont un peu laborieux et ennuyeux, mais le gain de niveaux est très rapide, d’autant que le jeu dispose d’un mode de combat automatique. En réalité, Felspire ne se révèle vraiment que dans les niveaux les plus hauts, où la difficulté et le challenge seront bien plus élevés.
Felspire offre de très jolis environnements. Les designs des personnages et des monstres sont très agréables, même s’ils manqueront parfois d’originalité. L’absence de customisation, du moins au départ, est en ce sens fort dommageable, car peu de choses vous distingueront de vos petits camarades. Autre point qui pourrait faire débat : le choix de la simplification à outrance, avec une option de combat ou de déplacement automatiques – ce dernier étant disponible seulement pour les joueurs VIP. Mais le plus gros problème de Felspire reste son manque d’originalité. Aucune innovation, aucune prise de risque. Le jeu est un concentré d’idées, plus ou moins bonnes, déjà développées ailleurs, mais qui mises bout à bout, n’apportent pas grand-chose de nouveau. C’est fort dommage, car Felspire reste un jeu amusant – ce qu’on lui demande au final –, au gameplay rapide et nerveux, et qui proposera une bonne dose de challenge dans les niveaux les plus élevés.
Ce Qu'on A Aimé...
L’évolution des compétences
Quêtes royales
Développement du personnage prenant
... et ce qu'on a pas aimé
Cash shop un peu trop présent
Gameplay et quêtes générales banales
Fiesta Online nous donne un bilan mitigé, à reprendre des bonnes idées, et ajouter une petite originalité, il n’en reste pas moins qu’il souffre de quelques soucis majeurs. Sorti en 2007 et publié par la suite en Europe par Gamigo, le jeu nous est parvenu tant bien que mal en France.
Avec une personnalisation visuelle et une exploration de l’univers très en deçà de ce qui se fait aujourd’hui, qui sont pourtant les bases du MMORPG, le jeu risque d'en décevoir certains. Ceci dit, tout dépend du goût de chacun, et si tout ce qui vous importe est d'avoir une bonne progression dans le développement de votre personnage, ce jeu fera l'affaire.
En effet, avec plusieurs stades d’évolution, sans oublier l’amélioration des compétences, on va se sentir toujours plus puissant à travers le temps. Aussi, les quêtes Royales sont vraiment sympathiques, même si la plupart des quêtes se résumeront à tuer des monstres en chaîne. En tout cas, on réussi quand même à s'amuser en jouant à Fiesta, et c'est l'essentiel !
Ce Qu'on A Aimé...
Combat fluide
Histoire engageante
PvP merveilleux
Graphismes superbes
Solide modèle free-to-play
... et ce qu'on a pas aimé
PvE qui laisse un peu à désirer
Téléchargement massif
Besoin d'une très bonne machine
Visionnez la bande annonce:
Préparez-vous à faire équipe avec des amis et partir à la conquête du monde de Tyria, dans Guild Wars 2, un MMORPG terriblement unique.
Avec sa première extension, Heart of Thorns, sortie fin 2015, Guild Wars 2, le jeu d’ArenaNet, salué par la critique, a finalement introduit une option free-to-play.
Il devient ainsi plus facile que jamais de goûter à l’histoire prenante du jeu, qui place le joueur en son cœur, et au système de combat basé sur une action viscérale.
Alors accrochez-vous et préparez-vous à faire l’expérience d’un des grands MMO de ces dix dernières années, Guild Wars 2.
Ce Qu'on A Aimé...
Très grande longévité
Gameplay qui laisse perplexe
... et ce qu'on a pas aimé
Les joueurs qui ne veulent pas débourser d'argent vont vite être pénalisés par rapport à ceux qui payent.
Visionnez la bande annonce:
Last Chaos peut être considéré comme un MMORPG classique gratuit. On télécharge le client du jeu, on choisis une race et voilà, on se retrouve à l'aventure d'un énième univers propre à chaque MMORPG. Sorti en 2006 au Japon, en 2008 en Europe et disponible depuis 2009 en Français, le titre se présente comme un MMORPG gratuit avec de fortes ambitions mais qui au final nous laisse un sacré goût d'inachevé.
Une fois en jeu, ce ne sont pas les choses à faire qui manquent, le jeu est immense et les quêtes sont nombreuses et il faudra un bon boût de temps pour pouvoir tout explorer. Cependant, l'un des gros problèmes de Last Chaos c'est exactement ça, le temps.
C'est-à-dire qu'une fois qu'on se retrouve à avoir un personnage de plutôt haut niveau, les choses deviendront toujours plus complexes et de plus en plus longues et à moins de mettre la main à la poche, l'ennui pourrait vite vous faire déserter cet univers.
Ce Qu'on A Aimé...
Interface riche
Beaucoup d'activités
Base scénaristique originale
... et ce qu'on a pas aimé
Traduction catastrophique
Peu de personnalisation
Quêtes répétitives
Les Hommes de l’ombre (connu sous le titre Light of Darkness en anglais) est un MMORPG entièrement free-to-play dont la bêta fermée a démarré en septembre 2015, avant d’enfin passer en bêta ouverte en juin 2016.
Les Hommes de l’ombre se veut assez classique dans son approche. Vous pourrez choisir dès le lancement du jeu parmi les trois classes proposées (Berseker, Épésite, Élémentaliste), en fonction de vos préférences ou de votre style de jeu. Ces trois classes différeront en apparence et dans leurs compétences, mais ne vous attendez à aucune option de personnalisation lors de la création de votre personnage, si ce n’est son nom.
Vous aurez ensuite pour mission d’améliorer votre champion, via des quêtes et des combats, au sein d’un environnement PvE assez plaisant à regarder. Vous serez accompagné d’une bête et d’une monture, que vous pourrez toutes deux faire évoluer au fur et à mesure du jeu.
Mais le gros plus des Hommes de l’ombre se trouve plutôt dans ses activités PvP et ses donjons. Côte activités annexes, le jeu n’est pas en reste non plus, et vous propose notamment la chasse aux démons, qui vous mettra aux prises avec de coriaces monstres d’élite, ou encore l'instance, où vous pourrez défier des monstres spéciaux.
Niveau graphismes et sons, Les Hommes de l’ombre n'a pas à rougir. L’ambiance des différents lieux possède un certain cachet, accompagnée d’une musique plutôt agréable.
Les Hommes de l’ombre est un jeu riche et complexe, aux multiples facettes, malgré une certaine facilité apparente au début. Malheureusement, le titre souffre d’une traduction honteuse qui retire tout plaisir à l’histoire, qui perd tout son intérêt.
Ce Qu'on A Aimé...
Système de karma
Nombreuses races
Gameplay facile à prendre en main
... et ce qu'on a pas aimé
Graphismes moyens
Ne plaira pas aux joueurs aimant le PvE
Lineage II n’est plus tout jeune. Le titre de NCsoft a en effet débarqué en Europe en 2004, mais s’est enrichi, depuis sa sortie, de nombreuses expansions et compte aujourd’hui près de 18 millions de joueurs actifs. Une belle prouesse bien méritée.
Car le jeu propose un contenu de grande qualité, de son scénario à son gameplay simple à maîtriser de prime abord.
Lineage II plonge le joueur dans le monde d’Aden. Vous pourrez y incarner jusqu’à 7 classes différentes. Ce choix conditionnera celui des différentes classes qui se présenteront à vous au fil des niveaux.
Côté graphisme, le jeu accuse un peu le coup, d’autant qu’il n’était déjà pas une bête de compétition à sa sortie. Ce petit désagrément sera néanmoins compensé par une bande-son de grande qualité, que l’on prendra plaisir à écouter.
Dans un paysage désormais saturé de nombreux MMORPG, Lineage II continue de valoir le détour.
Ce Qu'on A Aimé...
C'est Le seigneur des Anneaux
Beaucoup de contenu général
Personnalisation de la maison amusante
... et ce qu'on a pas aimé
Il faut acheter les packs de quêtes et extensions
Faible contenu de haut-niveau
Arpenter la Terre du Milieu est un rêve que beaucoup de joueurs de MMORPG fans de la saga de Tolkien possèdent depuis très longtemps. Le Seigneur des Anneaux Online nous offre donc enfin cette possibilité et se destine donc à ceux qui voudraient partir sur les traces de Frodon et de la Communauté dans une aventure virtuelle.
Le Seigneur Des Anneaux Online : Les Ombres D'Angmar est un MMORPG sympathique.
Pas forcement excellent à cause de certaines zones vides, du manque global de races et de classes, du gameplay pas forcément original et de l'absence de certaines options qui auraient grandement facilité la vie du joueur, mais globalement on passe tout de même de bons moments en Terre du Milieu, surtout si l'on est fan de la franchise originale.
Les joueurs qui cherchent un bon challenge devraient cependant regarder ailleurs.
Ce Qu'on A Aimé...
Véritable monde de Naruto
Recrutez des personnages et menez des combats directement tirés de la série
... et ce qu'on a pas aimé
Animations moyennes
Système de combat passif
Visionnez la bande annonce:
Naruto Online est un MMORPG proposant des animations en 2D, qui se déroule dans le monde de Naruto. Le jeu possède une licence officielle et propose tous les personnages et lieux populaires de l'anime. Les joueurs participent à des quêtes et des donjons, affrontant par la même occasion des boss que l'on retrouve aussi dans la série, aux côtés de leur propre équipe de ninjas. Les contenus PvE et PvP sont corrects, mais le système de combat, très passif, ne plaira pas à tout le monde.
Le combat se fait au tour par tour, mais les joueurs y jouent un rôle minimum. Avant une bataille, vous pouvez sélectionner les ninjas à envoyer au turbin, afin de créer des synergies stratégiques entre vos combattants, mais une fois ce choix effectué, vous vous contenterez de regarder le déroulement du combat. Les graphismes sont corrects, mais les animations ne sont pas aussi bien léchées que les arrière-plans en 2D.
Cependant, Naruto Online est un jeu parfait pour tous les fans de la série.
Ce Qu'on A Aimé...
Facile d'accès
Interface simple
Présence de PvP
... et ce qu'on a pas aimé
Répétitif
Absence de musique d'ambiance
Genre: action, mmorpg, simulation, stratègie
Ambiance: fantasy, historique, mer
Graphismes: œuvres d'animation
PvP: guilde ou factions matchs ou duels PvE PvP
Sorti en 2012 et développé par le studio BigPoint, Pirate Storm vous entraîne dans un monde impitoyable, empli de pirates et de créatures marines, où vous tenterez de vous faire un nom à la puissance de vos canons.
Votre but sera de parcourir les flots à la recherche de vaisseaux ennemis et de monstres en tout genre afin de gagner de l’expérience et de l’argent pour améliorer votre petit navire de départ. Le gameplay est simple et ne demande aucune compétence particulière pour se lancer. Fonctionnant un peu à la manière d’un point-and-click, le jeu vous laissera vous déplacer à la faveur de votre souris. De même, il vous faudra sélectionner votre ennemi avant de pouvoir l’attaquer. Une barre de compétence vous permettra cependant de lancer plus rapidement vos commandes sans vous perdre dans le menu.
En amassant des points d’expérience, votre navire gagnera en niveaux et en puissance. Il existe différents canons et boulets, que vous pourrez vous procurez contre l’or du jeu, via votre guilde ou lors événements. Pirate Storm propose en effet tant du PvE que du PvP, et vous aurez tout intérêt à faire équipe avec d’autres joueurs au sein d’une guilde pour obtenir avantages et autres récompenses.
Les cartes, si elles sont grandes, ne sont cependant par particulièrement variées, hormis des variations de climats, et le jeu n’offre pas vraiment une sensation de grande diversité. Il existera trois ennemis différents sur chaque carte, deux navires et une créature marine, et certaines zones abriteront également un boss plutôt coriace.
Côté son, le titre est vraiment pauvre. La musique d’ambiance ne sera qu’un simple bruit de vent constant, ce qui donnera une relative impression de solitude et d’abandon, alors que la mer regorge de bateaux et autres monstres. Les graphismes demeurent agréables, et la palette de couleurs apporte une touche d’exotisme aux îles, mais ici encore, rien de bien transcendant.
Le plus gros problème de Pirate Storm sera cependant son côté répétitif, tant dans son gameplay que dans sa progression. Le PvP apportera un peu de diversité au titre, au demeurant sympathique, mais les plus impatients auront tôt fait de voguer vers de nouveaux horizons.